Quatuor Artemis 9
Quatuor Artemis ©Thomas Rabsch

Quatuor Artemis

Vineta Sareika violon
Gregor Sigl violon
Friedemann Weigle alto
Eckart Runge violoncelle

Ecrit dans l’une des tonalités préférées de Beethoven, le Quatuor à cordes n° 4 (1798) cache une expression dramatique derrière une certaine nostalgie. Ce même mélange se trouve dans son dernier quatuor, le n° 16 (1825), ironique sortie de scène où le compositeur se passe de tout schéma préconçu pour trouver une liberté totale. Quant au premier des Razoumovski, le quatuor n° 7 (1806), il représente l’apogée de la période médiane de Beethoven qui, avec une virtuosité jusque là inconnue, pousse la logique classique jusqu’à ses dernières conséquences.

Pablo Galonce

Ecrit dans l’une des tonalités préférées de Beethoven, le Quatuor à cordes n° 4 (1798) cache une expression dramatique derrière une certaine nostalgie. Ce même mélange se trouve dans son dernier quatuor, le n° 16 (1825), ironique sortie de scène où le compositeur se passe de tout schéma préconçu pour trouver une liberté totale. Quant au premier des Razoumovski, le quatuor n° 7 (1806), il représente l’apogée de la période médiane de Beethoven qui, avec une virtuosité jusque là inconnue, pousse la logique classique jusqu’à ses dernières conséquences.

Pablo Galonce