Jean Rondeau 1
Jean Rondeau ©Baghir

Jean Rondeau clavecin
Sophie Gent violon 1
Louis Creac’h violon 2
Fanny Paccoud alto
Antoine Touche violoncelle
Thomas de Pierrefeu contrebasse
Evolène Kiener basson

La nouvelle star du clavecin s’appelle Jean Rondeau. Un nom prédestiné pour un artiste aussi allègrement inventif. En compagnie de ses partenaires, il interprète trois concertos de la famille Bach. Un du patriarche tout d’abord, celui en ré mineur, le plus populaire de tous ceux signés Johann-Sebastian, qui mettrait en joie l’auditeur le plus neurasthénique. Celui en fa mineur se révèle un des plus consistants parmi les sept composés par Wilhelm-Friedemann, le fils ainé. Enfin, Carl Philip Emmanuel, le rejeton le plus brillant quant à sa façon d’exploiter toutes les ressources du clavier, créateur particulièrement prolifique avec sa cinquantaine de concertos. Un feu d’artifice et un bel hommage à une dynastie musicale unique, sous la houlette d’un virtuose de vingt-deux ans qui fait souffler un vent de fraîcheur dans le monde du clavecin.

La nouvelle star du clavecin s’appelle Jean Rondeau. Un nom prédestiné pour un artiste aussi allègrement inventif. En compagnie de ses partenaires, il interprète trois concertos de la famille Bach. Un du patriarche tout d’abord, celui en ré mineur, le plus populaire de tous ceux signés Johann-Sebastian, qui mettrait en joie l’auditeur le plus neurasthénique. Celui en fa mineur se révèle un des plus consistants parmi les sept composés par Wilhelm-Friedemann, le fils ainé. Enfin, Carl Philip Emmanuel, le rejeton le plus brillant quant à sa façon d’exploiter toutes les ressources du clavier, créateur particulièrement prolifique avec sa cinquantaine de concertos. Un feu d’artifice et un bel hommage à une dynastie musicale unique, sous la houlette d’un virtuose de vingt-deux ans qui fait souffler un vent de fraîcheur dans le monde du clavecin.