Alexandre Tharaud
Grieg
9 Lyriske stykker (Pièces lyriques)
– Arietta opus 12
– Chant national opus 12
– Berceuse opus 38
– Valse opus 38
– Élégie opus 47
– Mlodie opus 47
– Papillon opus 43
– Sonnerie de cloches opus 54
– Jour de noces à Traldhaugen opus 65
Schumann
Scènes d’enfants (Kinderszenen) pour piano opus 15
Mahler
Adagietto de la Symphonie n°5 en do dièse mineur
transcription pour piano de A. Tharaud
Beethoven
Sonate pour piano en fa mineur n°23 opus 57 Appassionata
Théâtre des Champs-Élysées
65€ – 50€ – 38€ – 26€ – 10€ – 5€
A son papa, chanteur d’opérette, il doit enfant ses premiers pas sur scène et peut-être de ne pas être aujourd’hui un pianiste comme les autres. Un piano, il n’en a jamais possédé, préférant jouer les coucous chez ses amis en leur absence mais il n’hésite pas non plus à jeter un grand queue de concert dans la sciure pour faire valser sur Bach les chevaux de Bartabas. Il nous a rappelé, et avec quel succès, que Rameau n’était pas l’apanage des seuls clavecinistes ou que Satie méritait toutes nos avant-dernières pensées. Son programme est au diapason de cette intelligence virevoltante, placé cette fois sous le signe de la jeunesse, des de Schumann bien sûr aux petits contes farcis de trolls des Pièces lyriques de Grieg, en passant par le souvenir du de Visconti avec l’Adagietto de la 5 de Mahler dans sa propre transcription ou par un Beethoven en jeune lion fougueux dans l’Appassionata.
A son papa, chanteur d’opérette, il doit enfant ses premiers pas sur scène et peut-être de ne pas être aujourd’hui un pianiste comme les autres. Un piano, il n’en a jamais possédé, préférant jouer les coucous chez ses amis en leur absence mais il n’hésite pas non plus à jeter un grand queue de concert dans la sciure pour faire valser sur Bach les chevaux de Bartabas. Il nous a rappelé, et avec quel succès, que Rameau n’était pas l’apanage des seuls clavecinistes ou que Satie méritait toutes nos avant-dernières pensées. Son programme est au diapason de cette intelligence virevoltante, placé cette fois sous le signe de la jeunesse, des de Schumann bien sûr aux petits contes farcis de trolls des Pièces lyriques de Grieg, en passant par le souvenir du de Visconti avec l’Adagietto de la 5 de Mahler dans sa propre transcription ou par un Beethoven en jeune lion fougueux dans l’Appassionata.