Cédric Tiberghien 1
Cédric Tiberghien ©Eric Manas

Alina Ibragimova

violon

Cédric Tiberghien

piano

La vie est parfois injuste on le sait. Et oui il y a ceux qui non seulement jouent divinement bien mais qui en sus figureraient sans rougir sur les meilleurs papiers glacés. On sait de lui, depuis ses victoires notamment au Reine Elisabeth et au Long-Thibaud, que sous son oeil de velours se cache une main de fer. Il revendique son attachement à Guillels, Rubinstein et Schnabel, surtout pour l’interprétation de Beethoven dont il a joué l’intégrale des concertos cette saison en tournée. Elle, formée à la Gnesin de Moscou puis à Londres à la Menuhin School et au Royal College of Music, a déjà séduit les baguette de Valery Gerghiev, de John Eliot Gardiner de Vladimir Jurowsky ou de Giannandrea Noseda. Les voici réunis, après une intégrale Ravel au disque, sous les auspices de Beethoven ou Schubert, deux compositeurs qui leur tiennent à coeur.

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».

La vie est parfois injuste on le sait. Et oui il y a ceux qui non seulement jouent divinement bien mais qui en sus figureraient sans rougir sur les meilleurs papiers glacés. On sait de lui, depuis ses victoires notamment au Reine Elisabeth et au Long-Thibaud, que sous son oeil de velours se cache une main de fer. Il revendique son attachement à Guillels, Rubinstein et Schnabel, surtout pour l’interprétation de Beethoven dont il a joué l’intégrale des concertos cette saison en tournée. Elle, formée à la Gnesin de Moscou puis à Londres à la Menuhin School et au Royal College of Music, a déjà séduit les baguette de Valery Gerghiev, de John Eliot Gardiner de Vladimir Jurowsky ou de Giannandrea Noseda. Les voici réunis, après une intégrale Ravel au disque, sous les auspices de Beethoven ou Schubert, deux compositeurs qui leur tiennent à coeur.

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».