Anne Queffélec - Gaspard Dehaene
Anne Queffélec et Gaspard Dehaene © Caroline Doutre

Anne Queffélec

piano

Gaspard Dehaene

piano

 

Si des secrets de musique se transmettent de mère en fils, Gaspard Dehaene, qui ne s’y mit sérieusement que très tard fasciné par la Quatrième Ballade de Chopin, en reçut certainement d’Anne Queffélec.

Laquelle, pourtant, tempère : « nous sommes très différents, à tous points de vue : style de jeu, choix de répertoire ». En solo, ils se répartiront effectivement les rôles. Outre Mozart, que la pianiste considère comme « l’homme de sa vie », et Scriabine, dont le virtuose avait osé graver la redoutable Fantaisie en si mineur peu de temps après l’avoir ajoutée à son répertoire, place à Schubert. D’abord quelques fameux Lieder transcrits pas Liszt puis, bien sûr, deux « quatre mains » que le tandem connait sur le bout des doigts.

Si des secrets de musique se transmettent de mère en fils, Gaspard Dehaene, qui ne s’y mit sérieusement que très tard fasciné par la Quatrième Ballade de Chopin, en reçut certainement d’Anne Queffélec.

Laquelle, pourtant, tempère : « nous sommes très différents, à tous points de vue : style de jeu, choix de répertoire ». En solo, ils se répartiront effectivement les rôles. Outre Mozart, que la pianiste considère comme « l’homme de sa vie », et Scriabine, dont le virtuose avait osé graver la redoutable Fantaisie en si mineur peu de temps après l’avoir ajoutée à son répertoire, place à Schubert. D’abord quelques fameux Lieder transcrits pas Liszt puis, bien sûr, deux « quatre mains » que le tandem connait sur le bout des doigts.