Anne Queffélec
Anne Queffélec ©Caroline Doutre

Anne Queffélec

piano

Enfant, Anne Queffélec rêvait d’être « pianiste la semaine et fleuriste le dimanche ». Ce qui nous aurait privé de cette matinée autour des dernières sonates de Schubert et Beethoven, dont on imagine qu’Alfred Brendel, avec lequel elle étudia, lui transmit quelques secrets.

Lire la suite

Entre analyse rigoureuse et apparente spontanéité, notre grande dame du piano entend dans l’œuvre du grand Ludwig la « possibilité d’une existence divine portée par l’homme […] Le deuxième mouvement de l’Opus 111 tient de la métaphysique pure. On ne peut pas aller plus loin pour exprimer notre part de transcendance […] Cette sonate est une aventure intérieure spirituelle.
Quand j’arrive à la fin, je me sens à la fois épuisée et remplie ».
Et vous ?

Enfant, Anne Queffélec rêvait d’être « pianiste la semaine et fleuriste le dimanche ». Ce qui nous aurait privé de cette matinée autour des dernières sonates de Schubert et Beethoven, dont on imagine qu’Alfred Brendel, avec lequel elle étudia, lui transmit quelques secrets.

Entre analyse rigoureuse et apparente spontanéité, notre grande dame du piano entend dans l’œuvre du grand Ludwig la « possibilité d’une existence divine portée par l’homme […] Le deuxième mouvement de l’Opus 111 tient de la métaphysique pure. On ne peut pas aller plus loin pour exprimer notre part de transcendance […] Cette sonate est une aventure intérieure spirituelle.
Quand j’arrive à la fin, je me sens à la fois épuisée et remplie ».
Et vous ?