Concerto Italiano, Rinaldo Alessandrini 3
Concerto Italiano ©DR

Concerto Intaliano

Ensemble instrumental

Rinaldo Alessandrini

Clavecin et Direction

Véritable homme protée (à la fois claveciniste, pianofortiste, organiste, chef de chœurs et d’orchestre), Rinaldo Alessandrini, malgré un apprentissage musical relativement tardif n’en n’est pas moins devenu une sommité dans le domaine de la musique ancienne et baroque. Il fonde dès 1984 le Concerto Italiano, qui s’impose rapidement dans les Madrigaux de Monteverdi. Le brio et la débauche de vie et de couleurs de cet ensemble de référence éclatent également dans Vivaldi et Bach. Ses membres, qui sont autant de solistes, animent d’une présence intense les concertos du « prêtre roux », si familiers et si changeants à la fois. Ce programme aux airs de fête se termine avec le charme mélodique et la magnificence du très apprécié 5e Brandebourgeois de Bach, qu’on peut légitimement envisager, en raison notamment de  l’impressionnante cadence du premier mouvement, comme le premier concerto pour clavecin de l’histoire.

Véritable homme protée (à la fois claveciniste, pianofortiste, organiste, chef de chœurs et d’orchestre), Rinaldo Alessandrini, malgré un apprentissage musical relativement tardif n’en n’est pas moins devenu une sommité dans le domaine de la musique ancienne et baroque. Il fonde dès 1984 le Concerto Italiano, qui s’impose rapidement dans les Madrigaux de Monteverdi. Le brio et la débauche de vie et de couleurs de cet ensemble de référence éclatent également dans Vivaldi et Bach. Ses membres, qui sont autant de solistes, animent d’une présence intense les concertos du « prêtre roux », si familiers et si changeants à la fois. Ce programme aux airs de fête se termine avec le charme mélodique et la magnificence du très apprécié 5e Brandebourgeois de Bach, qu’on peut légitimement envisager, en raison notamment de  l’impressionnante cadence du premier mouvement, comme le premier concerto pour clavecin de l’histoire.