Cuarteto Casals, Eckart Runge 1
Cuarteto Casals ©MolinaVisuals

Cuarteto Casals

Vera Martínez Mehner violon
Abel Tomàs violon
Jonathan Brown alto
Arnau Tomàs violoncelle

Eckart Runge

violoncelle

Pour être nés un peu avant le tournant du siècle à Madrid, forgeant sur les bancs de l’école Reine Sofia leur ensemble sous les auspices du grand Pablo dont ils adopteront le patronyme, ces petits-là sont déjà de la race des grands, bardés de prix, et reconnus jusqu’à avoir eu le privilège déjà de jouer les Stradivarius de la famille royale en sa présence. Et modernes avec cela, pour avoir créé tant de leurs contemporains, de David del Puerto à Gyorgy Kurtag, en passant par James Mac Millan ou Christian Lauba. On ne s’étonnera donc guère de les voir jouer ce classique du XXe siècle, un Webern qui pour une fois accepte presque de s’épancher, avant d’être rejoint par l’atypique transfuge d’un jour violoncelliste d’un autre Quatuor, Artémis, pour l’une des plus belles pages de chambre de Schubert.

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».

Pour être nés un peu avant le tournant du siècle à Madrid, forgeant sur les bancs de l’école Reine Sofia leur ensemble sous les auspices du grand Pablo dont ils adopteront le patronyme, ces petits-là sont déjà de la race des grands, bardés de prix, et reconnus jusqu’à avoir eu le privilège déjà de jouer les Stradivarius de la famille royale en sa présence. Et modernes avec cela, pour avoir créé tant de leurs contemporains, de David del Puerto à Gyorgy Kurtag, en passant par James Mac Millan ou Christian Lauba. On ne s’étonnera donc guère de les voir jouer ce classique du XXe siècle, un Webern qui pour une fois accepte presque de s’épancher, avant d’être rejoint par l’atypique transfuge d’un jour violoncelliste d’un autre Quatuor, Artémis, pour l’une des plus belles pages de chambre de Schubert.

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».