Emmanuel Pahud, Paul Meyer, Éric Le Sage 1
Emmanuel Pahud ©Lou Denim

Emmanuel Pahud

flûte

Paul Meyer

clarinette

Éric Le Sage

piano

Ces trois-là ne se connaissent pas d’hier. Ils étaient  presque gamins encore lorsque Eric Le Sage et Paul Meyer se rencontrent lors de la finale du Concours de l’Eurovision, puis quelques années plus tard pour le premier un récital au Festival de Montpellier avec Emmanuel Pahud. Ce n’est donc pas un hasard si, il y a un peu plus d’une vingtaine d’années, le Trio fonde à l’Empéri l’un des plus beaux festivals de musique de chambre, invitant leurs amis à venir goûter sous le soleil de Salon-de-Provence, grand répertoire, raretés ou créations. Aujourd’hui Eric Le Sage poursuit une brillante carrière entamée avec sa victoire au Concours Schumann, Paul Meyer se partage entre sa clarinette et la direction d’orchestre, tandis qu’Emmanuel Pahud continue à naviguer au sommet que ce soit en solo ou au pupitre de la Philharmonie de Berlin. Mais ils aiment toujours à se retrouver pour nous faire redécouvrir quelques perles, comme la Sonatine de Jolivet ou la Tarentelle de Saint-Saens, non sans oublier des tubes comme la Sonate pour clarinette et piano de Poulenc ou encore la Sicilienne de Fauré.

Ces trois-là ne se connaissent pas d’hier. Ils étaient  presque gamins encore lorsque Eric Le Sage et Paul Meyer se rencontrent lors de la finale du Concours de l’Eurovision, puis quelques années plus tard pour le premier un récital au Festival de Montpellier avec Emmanuel Pahud. Ce n’est donc pas un hasard si, il y a un peu plus d’une vingtaine d’années, le Trio fonde à l’Empéri l’un des plus beaux festivals de musique de chambre, invitant leurs amis à venir goûter sous le soleil de Salon-de-Provence, grand répertoire, raretés ou créations. Aujourd’hui Eric Le Sage poursuit une brillante carrière entamée avec sa victoire au Concours Schumann, Paul Meyer se partage entre sa clarinette et la direction d’orchestre, tandis qu’Emmanuel Pahud continue à naviguer au sommet que ce soit en solo ou au pupitre de la Philharmonie de Berlin. Mais ils aiment toujours à se retrouver pour nous faire redécouvrir quelques perles, comme la Sonatine de Jolivet ou la Tarentelle de Saint-Saens, non sans oublier des tubes comme la Sonate pour clarinette et piano de Poulenc ou encore la Sicilienne de Fauré.