Fazıl SAY 2
Fazıl Say ©Marco Borggreve

Fazıl Say

Elève d’une disciple d’Alfred Cortot au Conservatoire d’Ankara sa ville natale, il se perfectionne auprès de Robert Levine à Dusseldörf, puis à Berlin et entame de par le monde une brillante carrière de soliste, mais le compositeur n’est jamais loin. Qu’il s’agisse de Beethoven ou de Mozart pour lesquels il grave ses propres cadences de concerto, fou de jazz et d’improvisation, il crée son Quartet, et à la manière d’un Bartók ou d’un Enesco il intègre à ses œuvres son patrimoine et les instruments traditionnels, comme le ney, ou rend hommage dans ses pages lyriques aux grands poètes turcs comme Nazim Hikmet ou Metin Altiok. Mais là, de Mozart à Beethoven, en passant par Chopin, il semble qu’il veuille s’en tenir à ses classiques, encore que….

Elève d’une disciple d’Alfred Cortot au Conservatoire d’Ankara sa ville natale, il se perfectionne auprès de Robert Levine à Dusseldörf, puis à Berlin et entame de par le monde une brillante carrière de soliste, mais le compositeur n’est jamais loin. Qu’il s’agisse de Beethoven ou de Mozart pour lesquels il grave ses propres cadences de concerto, fou de jazz et d’improvisation, il crée son Quartet, et à la manière d’un Bartók ou d’un Enesco il intègre à ses œuvres son patrimoine et les instruments traditionnels, comme le ney, ou rend hommage dans ses pages lyriques aux grands poètes turcs comme Nazim Hikmet ou Metin Altiok. Mais là, de Mozart à Beethoven, en passant par Chopin, il semble qu’il veuille s’en tenir à ses classiques, encore que….