J'ai des doutes 1
J'ai des doutes - Illustration de Pascal Rabaté

J'ai des doutes

 

«Raymond Devos, Mesdames et Messieurs, est un miracle qui est apparu, singulier sur la scène du music-hall français. Il ne ressemblait à personne. Personne, plus jamais, ne lui ressemblera.
C’est comme ça. Il faut se faire une raison. Même si on n’est pas obligé… de se faire une raison.
Il est plus opportun en évoquant Devos de se faire une folie. Un grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien.

Ceux qui l’ont vu s’en souviennent : Raymond Devos fut un phénomène rare.
Comme les arcs-en-ciel de feu circulaire, comme les colonnes de lumière, comme les vents d’incendie, comme les nuages lenticulaires, il a surgi, miraculeux et mystérieux, derrière un rideau rouge qui s’ouvrait sur l’imaginaire. On n’avait jamais vu ça !
Et, devant cet homme en apesanteur, on avait le souffle coupé »

François Morel

 

Avec Antoine Sahler ou Romain Lemire
Romain Lemire assistant à la mise en scène
Alain Paradis lumières
Camille Urvoy son
Elisa Ingrassia costumes
Johanna Ehlert et Matthieu Siefridt/ Blick Théâtre,
conception, fabrication et mise en jeu des marionnettes
Denis Melchers direction technique
Pascal Rabaté illustration

«Raymond Devos, Mesdames et Messieurs, est un miracle qui est apparu, singulier sur la scène du music-hall français. Il ne ressemblait à personne. Personne, plus jamais, ne lui ressemblera.
C’est comme ça. Il faut se faire une raison. Même si on n’est pas obligé… de se faire une raison.
Il est plus opportun en évoquant Devos de se faire une folie. Un grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien.

Ceux qui l’ont vu s’en souviennent : Raymond Devos fut un phénomène rare.
Comme les arcs-en-ciel de feu circulaire, comme les colonnes de lumière, comme les vents d’incendie, comme les nuages lenticulaires, il a surgi, miraculeux et mystérieux, derrière un rideau rouge qui s’ouvrait sur l’imaginaire. On n’avait jamais vu ça !
Et, devant cet homme en apesanteur, on avait le souffle coupé »

François Morel

 

Avec Antoine Sahler ou Romain Lemire
Romain Lemire assistant à la mise en scène
Alain Paradis lumières
Camille Urvoy son
Elisa Ingrassia costumes
Johanna Ehlert et Matthieu Siefridt/ Blick Théâtre,
conception, fabrication et mise en jeu des marionnettes
Denis Melchers direction technique
Pascal Rabaté illustration