Jean-Efflam Bavouzet 1
Jean-Efflam Bavouzet ©Paul Mitchell

Jean-Efflam Bavouzet

piano

Ce Breton élevé à Metz, puis dans les classes de Pierre Sancan à Paris, est unique au clavier. Il sera la dernière découverte de Sir Georg Solti avec l’Orchestre de Paris dans Bartók, ce Bartók qu’il joue comme une seconde langue maternelle grâce notamment à son épouse, pianiste elle aussi et hongroise. L’amitié de Pierre Boulez fera le reste pour le mener dans la cour des très grands, car c’est aussi un passionné du répertoire du XXe siècle. Au disque, tout ce qu’il touche se couvre aussitôt de lauriers, qu’il s’agisse de ses intégrales Haydn, Debussy, Ravel ou encore ce Beethoven qui lui valut jadis son Premier Prix à Cologne. Ajoutez à cela que s’il est aujourd’hui responsable d’un festival, c’est au fin fond des Iles Lofoten en Norvège et vous comprendrez qu’il puisse ajouter à son récital un concerto « sans orchestre ».

Ce Breton élevé à Metz, puis dans les classes de Pierre Sancan à Paris, est unique au clavier. Il sera la dernière découverte de Sir Georg Solti avec l’Orchestre de Paris dans Bartók, ce Bartók qu’il joue comme une seconde langue maternelle grâce notamment à son épouse, pianiste elle aussi et hongroise. L’amitié de Pierre Boulez fera le reste pour le mener dans la cour des très grands, car c’est aussi un passionné du répertoire du XXe siècle. Au disque, tout ce qu’il touche se couvre aussitôt de lauriers, qu’il s’agisse de ses intégrales Haydn, Debussy, Ravel ou encore ce Beethoven qui lui valut jadis son Premier Prix à Cologne. Ajoutez à cela que s’il est aujourd’hui responsable d’un festival, c’est au fin fond des Iles Lofoten en Norvège et vous comprendrez qu’il puisse ajouter à son récital un concerto « sans orchestre ».