Le Barbier de Séville
Rossini
Le barbier de Séville
Opéra buffa en deux actes
sur un livret de Cesare Sterbini
d’après la comédie de Beaumarchais
Une production de l’Atelier Lyrique de Tourcoing
En voir plusThéâtre des Champs-Élysées
110€ – 90€ – 60€ – 35€ – 10€ – 5€
On ne peut comme Jean-Claude Malgoire aimer la bonne chère, quitte à payer de sa personne aux fourneaux, apprécier les grands crus et cultiver l’art des jeux de mots, sans avoir une certaine connivence avec cet autre bon vivant qu’était Rossini. On se souvient de sa Petite Messe Solennelle spatialisée ou de son Tancredi d’anthologie, voici qu’il reprend son Barbier de Séville, créé en 2005 et repris pour le 30e anniversaire de l’Atelier Lyrique de Tourcoing dans une mise en scène tout à fait astucieuse de Christian Schiaretti et d’Arnaud Décarsin, jouant de la transparence d’un rideau pour figurer les divers lieux. La création à Rome en 1816 fut un véritable « fischino » comme disait l’auteur, une série de catastrophes, de la cabale montée par Spontini au Don Basilio se fracassant le nez sur le plateau, en passant par un chat noir traversant la scène en miaulant. Rossini était parti se coucher se promettant de ne pas revenir le lendemain. Il fut réveillé par un public en délire qui, depuis, ne lui a jamais manqué.
Juan-Antonio Sanabria Almaviva
Sergio Gallardo Bartolo
Joan Martín-Royo Figaro
Ruth Rosique Rosine
Marie-Camille Vaquié Berta
Christian Helmer Basilio
Renaud Delaigue Fiorello
Christian Schiaretti, Arnaud Décarsin mise en scène
Renaud de Fontainieu scénographie
Annick Nilsson costumes
Julia Granel lumières
Nathalie Charbaut maquillage et coiffure
Emmanuel Olivier chef de chant
Ensemble Vocal de l’Atelier Lyrique de Tourcoing
La Grande Ecurie et la Chambre du Roy
Jean-Claude Malgoire direction musicale
On ne peut comme Jean-Claude Malgoire aimer la bonne chère, quitte à payer de sa personne aux fourneaux, apprécier les grands crus et cultiver l’art des jeux de mots, sans avoir une certaine connivence avec cet autre bon vivant qu’était Rossini. On se souvient de sa Petite Messe Solennelle spatialisée ou de son Tancredi d’anthologie, voici qu’il reprend son Barbier de Séville, créé en 2005 et repris pour le 30e anniversaire de l’Atelier Lyrique de Tourcoing dans une mise en scène tout à fait astucieuse de Christian Schiaretti et d’Arnaud Décarsin, jouant de la transparence d’un rideau pour figurer les divers lieux. La création à Rome en 1816 fut un véritable « fischino » comme disait l’auteur, une série de catastrophes, de la cabale montée par Spontini au Don Basilio se fracassant le nez sur le plateau, en passant par un chat noir traversant la scène en miaulant. Rossini était parti se coucher se promettant de ne pas revenir le lendemain. Il fut réveillé par un public en délire qui, depuis, ne lui a jamais manqué.
Juan-Antonio Sanabria Almaviva
Sergio Gallardo Bartolo
Joan Martín-Royo Figaro
Ruth Rosique Rosine
Marie-Camille Vaquié Berta
Christian Helmer Basilio
Renaud Delaigue Fiorello
Christian Schiaretti, Arnaud Décarsin mise en scène
Renaud de Fontainieu scénographie
Annick Nilsson costumes
Julia Granel lumières
Nathalie Charbaut maquillage et coiffure
Emmanuel Olivier chef de chant
Ensemble Vocal de l’Atelier Lyrique de Tourcoing
La Grande Ecurie et la Chambre du Roy
Jean-Claude Malgoire direction musicale