Le Chanteur de jazz et Une Nuit à l'Opéra
Alan Crosland, réalisation
Louis Silvers, musique
Al Jolson, Jackie Rabinowitz/Jack Robin
May McAvoy, Mary Dale
États-Unis 1927 – 1h30
Sam Wood, réalisation
Herbert Stothart, musique
Groucho Marx, Otis B. Driftwood
Chico Marx, Fiorello
Harpo Marx, Tomasso
États-Unis 1935 – 1h40
En première partie
Présentation et lecture par Daniel Mesguich
Théâtre des Champs-Élysées
Tarif unique 25€
Le Chanteur de jazz, est l’adaptation d’une pièce de théâtre qui connut un très gros succès en 1925, opposant le folklore yiddish à la musique moderne et profane représentée par le jazz. La Warner fit appel à Al Jolson, dynamique acteur et animateur de spectacles à Broadway alors très célèbre pour cette version cinématographique, premier long métrage parlant avec un total de 281 mots prononcés. Elle est communément considérée comme le premier film parlant, plusieurs scènes chantées et quelques dialogues étant insérées au milieu des scènes muettes, qui restent cependant les plus nombreuses. Elle montre aussi le lien qui va exister entre Broadway et Hollywood dans la comédie musicale, et sonnera le glas du cinéma muet.
Classique indémodable, que ce soit par les dialogues, la gestuelle, les gags, Une Nuit à l’Opéra réussit à traverser les âges sans prendre une ride. Tout l’humour des trois frères savamment dosé opère avec efficacité sans nous laisser le temps de reprendre notre respiration. Alliant la comédie au musical, cette aventure qui nous fait traverser l’Atlantique pour arriver à l’Opéra de New York, permet de savourer leurs talents de musiciens, entre solo de piano et harpe, chansons et airs lyriques sublimes. Les Marx Brothers ont preparé le terrain pour les Monty Python et bien d’autres…
dès le 27 juin 2014
cinemabalzac.com
fnac.com
Le Chanteur de jazz, est l’adaptation d’une pièce de théâtre qui connut un très gros succès en 1925, opposant le folklore yiddish à la musique moderne et profane représentée par le jazz. La Warner fit appel à Al Jolson, dynamique acteur et animateur de spectacles à Broadway alors très célèbre pour cette version cinématographique, premier long métrage parlant avec un total de 281 mots prononcés. Elle est communément considérée comme le premier film parlant, plusieurs scènes chantées et quelques dialogues étant insérées au milieu des scènes muettes, qui restent cependant les plus nombreuses. Elle montre aussi le lien qui va exister entre Broadway et Hollywood dans la comédie musicale, et sonnera le glas du cinéma muet.
Classique indémodable, que ce soit par les dialogues, la gestuelle, les gags, Une Nuit à l’Opéra réussit à traverser les âges sans prendre une ride. Tout l’humour des trois frères savamment dosé opère avec efficacité sans nous laisser le temps de reprendre notre respiration. Alliant la comédie au musical, cette aventure qui nous fait traverser l’Atlantique pour arriver à l’Opéra de New York, permet de savourer leurs talents de musiciens, entre solo de piano et harpe, chansons et airs lyriques sublimes. Les Marx Brothers ont preparé le terrain pour les Monty Python et bien d’autres…
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