Le troisième homme
Concert de Martial Murray, cithare en première partie.
Le troisième homme
Carol Reed réalisation
Joseph Cotton Holly Martins
Orson Welles Harry Lime
Alida Valli Anna Schmidt
Trevor Howard le major Calloway
Film britanique de 1949
Durée : 1h40
En voir plusCinéma Le Balzac
Tarifs 12€ | 6€ (scolaires et étudiants -26 ans)
C’est sans doute l’un des vers d’oreille les plus obsédants de toute l’histoire musicale du 7 art. Que celui qui n’a jamais fredonné le thème à la cithare d’Anton Karas nous jette la première pierre dans ces égouts de Vienne où se situe le final haletant de ce chef d’œuvre du film noir, réalisé par Carol Reed, grand prix du festival de Cannes en 1949. Qui a tué Harry Lime au lendemain de la guerre sur fond de contrebande de pénicilline ? Et qui pourrait oublier le visage d’Orson Welles, qui co-signa d’ailleurs le scénario avec Graham Greene, apparaissant dans l’embrasure d’une porte ou sa fantomatique rencontre posthume avec son ami Holly Martins, l’écrivain, dans la grande roue ou encore cette réplique devenue culte : « la Suisse a connu la fraternité et 500 ans de démocratie. Et ça donne quoi ? Le coucou ! ».
Un Voyage dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».
C’est sans doute l’un des vers d’oreille les plus obsédants de toute l’histoire musicale du 7 art. Que celui qui n’a jamais fredonné le thème à la cithare d’Anton Karas nous jette la première pierre dans ces égouts de Vienne où se situe le final haletant de ce chef d’œuvre du film noir, réalisé par Carol Reed, grand prix du festival de Cannes en 1949. Qui a tué Harry Lime au lendemain de la guerre sur fond de contrebande de pénicilline ? Et qui pourrait oublier le visage d’Orson Welles, qui co-signa d’ailleurs le scénario avec Graham Greene, apparaissant dans l’embrasure d’une porte ou sa fantomatique rencontre posthume avec son ami Holly Martins, l’écrivain, dans la grande roue ou encore cette réplique devenue culte : « la Suisse a connu la fraternité et 500 ans de démocratie. Et ça donne quoi ? Le coucou ! ».
Un Voyage dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».