Lettre d'une inconnue

Lettre d'une inconnue

« Je n’ai que toi qui ne m’as jamais connue et que j’ai toujours aimé ». Ce sont les premiers mots de cette bouleversante lettre d’une inconnue auquel Stefan Zweig avait prêté sa plume et que Max Ophuls adaptera au 7 art en 1948, réalisant là son premier chef d’œuvre à Hollywood où il s’est réfugié pendant la guerre. Pianiste célèbre, volage et vieillissant, Stefan reçoit un jour le courrier d’une inconnue, une sorte d’Adèle H viennoise qui, toute jeune encore, alors que le musicien emménage dans l’appartement voisin, en tombe éperdument amoureuse, sans jamais le lui révéler, l’épiant sans cesse sans qu’il ne s’en aperçoive. Une passion bafouée et ici sublimée par la caméra de l’auteur de tant de destins féminins brisés, de Lola Montés à Madame de…, en passant par la Ronde. Une lettre sans lendemain où Liszt, Mozart et Wagner tentent de sécher les traces de larmes.

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».

« Je n’ai que toi qui ne m’as jamais connue et que j’ai toujours aimé ». Ce sont les premiers mots de cette bouleversante lettre d’une inconnue auquel Stefan Zweig avait prêté sa plume et que Max Ophuls adaptera au 7 art en 1948, réalisant là son premier chef d’œuvre à Hollywood où il s’est réfugié pendant la guerre. Pianiste célèbre, volage et vieillissant, Stefan reçoit un jour le courrier d’une inconnue, une sorte d’Adèle H viennoise qui, toute jeune encore, alors que le musicien emménage dans l’appartement voisin, en tombe éperdument amoureuse, sans jamais le lui révéler, l’épiant sans cesse sans qu’il ne s’en aperçoive. Une passion bafouée et ici sublimée par la caméra de l’auteur de tant de destins féminins brisés, de Lola Montés à Madame de…, en passant par la Ronde. Une lettre sans lendemain où Liszt, Mozart et Wagner tentent de sécher les traces de larmes.

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».