Lisa Batiashvili, François Leleux, Wen-Sinn Yang, Peter Kofler 1
Lisa Batiashvili ©Anja Frers

Lisa Batiashvili

violon

Paul Lewis

piano

C’est l’alliance du feu sous la glace géorgienne et du parfait flegme britannique. Elle, s’empare du violon à 2 ans, fascinée par les leçons que donne son père qui sera son premier professeur, et depuis n’a jamais lâché l’archet, d’autant qu’elle joue aujourd’hui un rare Stradivarius qui vient encore de faire merveille sous ses doigts dans le Concerto de Brahms.

Lui, a commencé par le violoncelle et ce n’est qu’à 14 ans qu’il se mettra sérieusement au piano, devenant l’un des plus brillants disciples d’Alfred Brendel, et se consacrant depuis quelques années aux intégrales de ses très chers Beethoven et Schubert ; une passion qui les réunit aujourd’hui de Rondo brillant en Sonate pour l’acte de naissance d’un Grand duo sur scène de musique de chambre.

C’est l’alliance du feu sous la glace géorgienne et du parfait flegme britannique. Elle, s’empare du violon à 2 ans, fascinée par les leçons que donne son père qui sera son premier professeur, et depuis n’a jamais lâché l’archet, d’autant qu’elle joue aujourd’hui un rare Stradivarius qui vient encore de faire merveille sous ses doigts dans le Concerto de Brahms.

Lui, a commencé par le violoncelle et ce n’est qu’à 14 ans qu’il se mettra sérieusement au piano, devenant l’un des plus brillants disciples d’Alfred Brendel, et se consacrant depuis quelques années aux intégrales de ses très chers Beethoven et Schubert ; une passion qui les réunit aujourd’hui de Rondo brillant en Sonate pour l’acte de naissance d’un Grand duo sur scène de musique de chambre.