Michel Dalberto
piano
Gérard Caussé
alto
François Salque
violoncelle
Quatuor Modigliani
Amaury Coeytaux violon
Loïc Rio violon
Laurent Marfaing alto
François Kieffer violoncelle
Mahler
Quatuor pour piano et cordes en la mineur
1er mouvement
Schubert
Lieder D. 957 Schwanengesang (Le Chant du Cygne)
Aufenhalt (séjour) – Ihr Bild (Son image) – Ständchen (Sérénade)
transcription pour alto et piano par Jacques Drillon
Sonate pour piano n° 17 en ré majeur opus 53 D. 850
Schoenberg
La nuit transfigurée (Verklärte Nacht) pour sextuor à cordes opus 4
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 25€ | 12€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités 20€ (nous contacter)
Presque trois générations de chambristes se sont donné rendez-vous ce dimanche matin. Du côté des aînés et de l’éternelle jeunesse, le piano solaire de Michel Dalberto et l’alto toujours aussi sensuel de Gérard Caussé, de l’autre les cordes sympathiques du Quatuor Modigliani, à peine dix ans de vie commune mais qui en veulent au point d’être devenus l’un des meilleurs ensembles du moment, et entre les deux un quadra heureux, le violoncelliste François Salque aussi à l’aise dans ses classiques que dans la musique de son temps. Il n’en fallait pas plus pour convier sur scène, fût-ce à 11 heures du matin, des musiques crépusculaires, du quatuor avec piano de Mahler au schubertien chant du cygne revu par Liszt, en passant par la « nuit transfigurée » par un certain Schoenberg.
Un Voyage dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».
Presque trois générations de chambristes se sont donné rendez-vous ce dimanche matin. Du côté des aînés et de l’éternelle jeunesse, le piano solaire de Michel Dalberto et l’alto toujours aussi sensuel de Gérard Caussé, de l’autre les cordes sympathiques du Quatuor Modigliani, à peine dix ans de vie commune mais qui en veulent au point d’être devenus l’un des meilleurs ensembles du moment, et entre les deux un quadra heureux, le violoncelliste François Salque aussi à l’aise dans ses classiques que dans la musique de son temps. Il n’en fallait pas plus pour convier sur scène, fût-ce à 11 heures du matin, des musiques crépusculaires, du quatuor avec piano de Mahler au schubertien chant du cygne revu par Liszt, en passant par la « nuit transfigurée » par un certain Schoenberg.
Un Voyage dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».