Natalia Gutman
Natalia Gutman ©Eric Mahoudeau

Natalia Gutman

violoncelle

C’est peut-être l’un des dernières représentantes de la grande école russe du violoncelle. A 5 ans elle prend ses premières leçons avec son grand père, lui-même élève du grand  Leopold Auer. Puis ce sera le Conservatoire de Moscou, puis les prix et la collaboration avec un certain Mtislav Rostropovitch qui ne sera pas pour rien dans sa connaissance des arcanes de l’archet. Après sa médaille d’argent au concours Tchaikovsky dans les années 60, tous les chefs se l’arrachent, d’Abbado à Haitink, en passant par Masur, Celibidache ou Muti, mais elle réserve aussi une grande part de sa vie à la musique de chambre qu’elle pratique au sommet avec des partenaires tels que Sviatoslav Richter, Youri Bashmet ou son défunt époux Oleg Kagan. Aujourd’hui c’est tout simplement une grande dame qui revient à l’alpha et à l’oméga de ses cordes, les de Bach.

C’est peut-être l’un des dernières représentantes de la grande école russe du violoncelle. A 5 ans elle prend ses premières leçons avec son grand père, lui-même élève du grand  Leopold Auer. Puis ce sera le Conservatoire de Moscou, puis les prix et la collaboration avec un certain Mtislav Rostropovitch qui ne sera pas pour rien dans sa connaissance des arcanes de l’archet. Après sa médaille d’argent au concours Tchaikovsky dans les années 60, tous les chefs se l’arrachent, d’Abbado à Haitink, en passant par Masur, Celibidache ou Muti, mais elle réserve aussi une grande part de sa vie à la musique de chambre qu’elle pratique au sommet avec des partenaires tels que Sviatoslav Richter, Youri Bashmet ou son défunt époux Oleg Kagan. Aujourd’hui c’est tout simplement une grande dame qui revient à l’alpha et à l’oméga de ses cordes, les de Bach.