Nelson Goerner 1
Nelson Goerner ©Marco Borggreve

Nelson Goerner

piano

« Quel homme délicieux ! » s’exclament de concert ses partenaires sur scène, dès qu’on évoque son nom. Et quel délice en effet de voir de ses propres yeux, d’écouter ce pianiste calme et attentif, comme étranger à notre siècle convulsif ! Ne cherchez pas chez lui de virtuosité visible, ici le miracle est tout autre : il est dans l’ensorcelante connexion établie avec l’auditeur, autorisant une vérité émotionnelle sans équivalent.

Cette année, le pianiste met en miroir le plus scintillant Clementi au jeune Schumann des premiers opus, avant de conclure par une Appassionata de Beethoven qui certainement ne ressemblera à aucune autre !

« Quel homme délicieux ! » s’exclament de concert ses partenaires sur scène, dès qu’on évoque son nom. Et quel délice en effet de voir de ses propres yeux, d’écouter ce pianiste calme et attentif, comme étranger à notre siècle convulsif ! Ne cherchez pas chez lui de virtuosité visible, ici le miracle est tout autre : il est dans l’ensorcelante connexion établie avec l’auditeur, autorisant une vérité émotionnelle sans équivalent.

Cette année, le pianiste met en miroir le plus scintillant Clementi au jeune Schumann des premiers opus, avant de conclure par une Appassionata de Beethoven qui certainement ne ressemblera à aucune autre !