Nicholas Angelich
Nicholas Angelich ©Julien Mignot

Nicholas Angelich

 

« Soliste instrumental de l’année » aux Victoires de la Musique Classique 2013, son passeport est américain, ses racines sont balkaniques, mais il est depuis longtemps français d’adoption. Adolescent, il vient étudier au Concervatoire de Paris (où il enseignera lui même par la suite) auprès d’Aldo Ciccolini mais aussi de Michel Béroff et d’Yvonne Loriod, puis vainqueur de quelques concours comme le Casadesus de Cleveland ou le Gina Bachauer, il accède à la consécration à la fin des années 90. Cet ermite du clavier ne rompt sa solitude que pour le plaisir de la musique de chambre, mais à ce talent insolent tout réussit, comme les deux célèbres cycles qu’il a choisis aujourd’hui.

« Soliste instrumental de l’année » aux Victoires de la Musique Classique 2013, son passeport est américain, ses racines sont balkaniques, mais il est depuis longtemps français d’adoption. Adolescent, il vient étudier au Concervatoire de Paris (où il enseignera lui même par la suite) auprès d’Aldo Ciccolini mais aussi de Michel Béroff et d’Yvonne Loriod, puis vainqueur de quelques concours comme le Casadesus de Cleveland ou le Gina Bachauer, il accède à la consécration à la fin des années 90. Cet ermite du clavier ne rompt sa solitude que pour le plaisir de la musique de chambre, mais à ce talent insolent tout réussit, comme les deux célèbres cycles qu’il a choisis aujourd’hui.