Alain Carré, François-René Duchâble
Nicholas Angelich ©Stéphane de Bourgies

Nicholas Angelich piano

Roland Daugareil violon

Eiichi Chijiwa violon

Ana Bela Chaves alto

Emmanuel Gaugué violoncelle

Michel Benet hautbois

Marc Trénel basson

Musiciens de l'Orchestre de Paris

C’est en musique de chambre que Nicholas Angelich retrouve ici quelques-uns des Solistes de l’Orchestre de Paris pour le Quintette de Brahms. Une oeuvre que le compositeur pensa d’abord pour les cordes, puis sous la forme d’une sonate à deux pianos avant de céder à l’insistance de Clara Schumann pour lui donner sa forme définitive, et il devait en être satisfait car il ne détruisit pas la partition. Auparavant, un autre quintette, le 1er en si bémol majeur de Mozart, non pas dans sa version originale de 1773 mais dans une transcription qui laisse la place aux côtés des trois archets, à un hautbois et à un basson solos, lesquels se font un malin plaisir de remplacer dans cette page, violon et alto.

C’est en musique de chambre que Nicholas Angelich retrouve ici quelques-uns des Solistes de l’Orchestre de Paris pour le Quintette de Brahms. Une oeuvre que le compositeur pensa d’abord pour les cordes, puis sous la forme d’une sonate à deux pianos avant de céder à l’insistance de Clara Schumann pour lui donner sa forme définitive, et il devait en être satisfait car il ne détruisit pas la partition. Auparavant, un autre quintette, le 1er en si bémol majeur de Mozart, non pas dans sa version originale de 1773 mais dans une transcription qui laisse la place aux côtés des trois archets, à un hautbois et à un basson solos, lesquels se font un malin plaisir de remplacer dans cette page, violon et alto.