Alain Carré, François-René Duchâble
Nicholas Angelich ©Stéphane de Bourgies

Nicholas Angelich

 

« Aria avec quelques variations » dit le titre original qui cache pourtant bien l’ampleur de l’œuvre gigantesque : dans les Goldberg, Bach offre à l’interprète trente manières différentes de retourner sur le même thème sans jamais se répéter, le tout formant un vaste édifice qui se ferme avec le paisible retour de la mélodie d’origine. Pour un pianiste de la taille de Nicholas Angelich, comment échapper à l’attrait de ce sommet qui ne demande qu’à être gravi ?

Pablo Galonce

« Aria avec quelques variations » dit le titre original qui cache pourtant bien l’ampleur de l’œuvre gigantesque : dans les Goldberg, Bach offre à l’interprète trente manières différentes de retourner sur le même thème sans jamais se répéter, le tout formant un vaste édifice qui se ferme avec le paisible retour de la mélodie d’origine. Pour un pianiste de la taille de Nicholas Angelich, comment échapper à l’attrait de ce sommet qui ne demande qu’à être gravi ?

Pablo Galonce