Nicholas Angelich
Nicholas Angelich ©Julien Mignot

Nicholas Angelich

piano

Primé « Soliste instrumental de l’année » aux dernières Victoires de la Musique, cet éternel insatisfait, à la recherche de la perfection, ce géant du clavier qui règne d’ordinaire sur les grandes pages romantiques du répertoire, garde aussi son jardin secret : Johann Sebastian Bach, « une cathédrale de son métaphysique » dit-il, une ascèse qu’il pratique depuis toujours et qu’il nous fait partager aujourd’hui avec les Variations Goldberg, un voyage immobile de 30 stations où il vous suffit de fermer les yeux jusqu’à l’Aria finale.

Primé « Soliste instrumental de l’année » aux dernières Victoires de la Musique, cet éternel insatisfait, à la recherche de la perfection, ce géant du clavier qui règne d’ordinaire sur les grandes pages romantiques du répertoire, garde aussi son jardin secret : Johann Sebastian Bach, « une cathédrale de son métaphysique » dit-il, une ascèse qu’il pratique depuis toujours et qu’il nous fait partager aujourd’hui avec les Variations Goldberg, un voyage immobile de 30 stations où il vous suffit de fermer les yeux jusqu’à l’Aria finale.