Nikolaï Lugansky
Janáček
Dans les brumes pour piano
Schubert
4 Impromptus pour piano opus 142 D. 935
Rachmaninov
Sonate pour piano n°1 en ré mineur opus 28
Théâtre des Champs-Élysées
65€ – 50€ – 38€ – 26€ – 10€ – 5€
Fils d’un couple de scientifiques russes, il aurait pu tout aussi bien jouer sa partie dans la mécanique quantique, ou devenir champion d’échecs, ce qu’il est d’ailleurs au demeurant, mais à 5 ans il choisit le piano et 2 ans plus tard, il entre à l’École Centrale de Moscou où il sera près d’une décennie le dernier élève de Tatiana Nikolaeva. D’elle, il héritera de tout le répertoire de l’école russe, ce qui lui vaudra moult lauriers de concours, du Bach de Leipzig au Tchaïkovsky, mais aussi cet art de ne rien laisser passer au clavier, que ce soit une fausse note ou une émotion sur son visage. Cette exigence, qu’il manifeste encore ici au fil d’un programme partagé entre le poétique cycle « Dans les brumes » de Janacek et les non moins romantiques de Schubert, sans oublier ses racines au travers de la première sonate de Rachmaninov.
Fils d’un couple de scientifiques russes, il aurait pu tout aussi bien jouer sa partie dans la mécanique quantique, ou devenir champion d’échecs, ce qu’il est d’ailleurs au demeurant, mais à 5 ans il choisit le piano et 2 ans plus tard, il entre à l’École Centrale de Moscou où il sera près d’une décennie le dernier élève de Tatiana Nikolaeva. D’elle, il héritera de tout le répertoire de l’école russe, ce qui lui vaudra moult lauriers de concours, du Bach de Leipzig au Tchaïkovsky, mais aussi cet art de ne rien laisser passer au clavier, que ce soit une fausse note ou une émotion sur son visage. Cette exigence, qu’il manifeste encore ici au fil d’un programme partagé entre le poétique cycle « Dans les brumes » de Janacek et les non moins romantiques de Schubert, sans oublier ses racines au travers de la première sonate de Rachmaninov.