Patricia Kopatchinskaja, Fazıl SAY 1
Kopatchinskaja et Say ©Marco Borggreve

Patricia Kopatchinskaja

violon

Fazıl Say

piano

A l’irrévérence de l’un répond le jeu sans complexes de l’autre, à l’ironie de la violoniste suit comme en écho le mordant du pianiste : Patricia Kopakinskaja et Fazıl Say n’auraient pu trouver, l’un comme l’autre, de partenaire aussi bien assorti. A couple hors normes, programme hors pair : qui d’autre qu’eux oserait passer de l’une de ces pages trop méconnues, mais pleines de fantaisie, pour violon et piano de Schubert, faire un détour par le XVIIè siècle pour jouer la Sonata representiva de Biber, et finir avec la dernière des trois sonates pour violon et piano de Brahms, page d’un musicien au sommet de son art ?

Pablo Galonce

A l’irrévérence de l’un répond le jeu sans complexes de l’autre, à l’ironie de la violoniste suit comme en écho le mordant du pianiste : Patricia Kopakinskaja et Fazıl Say n’auraient pu trouver, l’un comme l’autre, de partenaire aussi bien assorti. A couple hors normes, programme hors pair : qui d’autre qu’eux oserait passer de l’une de ces pages trop méconnues, mais pleines de fantaisie, pour violon et piano de Schubert, faire un détour par le XVIIè siècle pour jouer la Sonata representiva de Biber, et finir avec la dernière des trois sonates pour violon et piano de Brahms, page d’un musicien au sommet de son art ?

Pablo Galonce