Paul Lewis 2
Paul Lewis ©Jack Liebeck

Paul Lewis

piano

Tout juste 40 ans et ce fils de docker de Liverpool est déjà l’un des pianistes les plus récompensés au monde pour ses enregistrements. Il commence pourtant par l’étude du violoncelle parce qu’on lui en avait confié un, mais finit à 14 ans par entrer à la force du poignet au conservatoire de Manchester. Il étudie ensuite à la Chethams School of Music et à la Guildhall School of Music and Drama. Les leçons d’Alfred Brendel feront le reste et dès lors Paul Lewis n’ira qu’à l’essentiel, de son intégrale Beethoven, sonates et concertos, unanimement acclamée, à son cher Schubert dont l’œuvre pour piano l’occupe déjà depuis deux ans – il s’est particulièrement consacré aux six dernières années du compositeur – et dont il nous offre à Paris ces bijoux immortels que sont les deux avant-derniers opus.

 

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».

Tout juste 40 ans et ce fils de docker de Liverpool est déjà l’un des pianistes les plus récompensés au monde pour ses enregistrements. Il commence pourtant par l’étude du violoncelle parce qu’on lui en avait confié un, mais finit à 14 ans par entrer à la force du poignet au conservatoire de Manchester. Il étudie ensuite à la Chethams School of Music et à la Guildhall School of Music and Drama. Les leçons d’Alfred Brendel feront le reste et dès lors Paul Lewis n’ira qu’à l’essentiel, de son intégrale Beethoven, sonates et concertos, unanimement acclamée, à son cher Schubert dont l’œuvre pour piano l’occupe déjà depuis deux ans – il s’est particulièrement consacré aux six dernières années du compositeur – et dont il nous offre à Paris ces bijoux immortels que sont les deux avant-derniers opus.

 

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».