Piotr Anderszewski, Quatuor Belcea

Piotr Anderszewski

piano

Quatuor Belcea

Corina Belcea violon
Axel Scacher violon
Kryzsztof Chorzlski alto
Antoine Lederlin violoncelle

Nombreux sont les journalistes qui se sont attachés à tenter de percer les secrets de ce jeu-là. Avec son public, Piotr Anderszewski possède un contact immédiat et mystérieux, sorte de touchante prescience qui lui permet de magnifier l’impact de tout ce qu’il joue ; voici que l’œuvre prend de la profondeur, qu’elle s’étend dans les trois dimensions, qu’elle bouge. Une fois n’est pas coutume, l’insaisissable musicien polonais se joint aux sonorités pénétrantes des Belcea pour proposer de Chostakovitch le grand Quintette en sol mineur. Vibrants soliloques, consonances et tintamarres se mêleront dans un zèle iconoclaste, précédé d’un quatuor qu’on ne présente plus : « Les Quintes » de Papa Haydn.

Nombreux sont les journalistes qui se sont attachés à tenter de percer les secrets de ce jeu-là. Avec son public, Piotr Anderszewski possède un contact immédiat et mystérieux, sorte de touchante prescience qui lui permet de magnifier l’impact de tout ce qu’il joue ; voici que l’œuvre prend de la profondeur, qu’elle s’étend dans les trois dimensions, qu’elle bouge. Une fois n’est pas coutume, l’insaisissable musicien polonais se joint aux sonorités pénétrantes des Belcea pour proposer de Chostakovitch le grand Quintette en sol mineur. Vibrants soliloques, consonances et tintamarres se mêleront dans un zèle iconoclaste, précédé d’un quatuor qu’on ne présente plus : « Les Quintes » de Papa Haydn.