Quatuor Artemis 8
Quatuor Artemis ©Thomas Rabsch

Quatuor Artemis

Vineta Sareika violon
Gregor Sigl violon
Friedemann Weigle alto
Eckart Runge violoncelle

Commençant avec une introduction lente sans tonalité définie et couronné par un dernier mouvement fugué haletant en forme de course aux abîmes, le Quatuor n° 9 (1807) a une ampleur véritablement symphonique. Premier des quatuors de la dernière période de Beethoven, contemporain de la et de la Missa solemnis, le très lyrique opus 127 (1824) semble s’ouvrir sur un monde sonore totalement vierge, comme si le compositeur redécouvrait les possibilités offertes par ce genre.

Pablo Galonce

Commençant avec une introduction lente sans tonalité définie et couronné par un dernier mouvement fugué haletant en forme de course aux abîmes, le Quatuor n° 9 (1807) a une ampleur véritablement symphonique. Premier des quatuors de la dernière période de Beethoven, contemporain de la et de la Missa solemnis, le très lyrique opus 127 (1824) semble s’ouvrir sur un monde sonore totalement vierge, comme si le compositeur redécouvrait les possibilités offertes par ce genre.

Pablo Galonce