Diapason - Le Quatuor Belcea sur les cimes beethoveniennes
Belcea Quartet ©Marco Borggreve

Quatuor Belcea

Corina Belcea violon
Axel Schacher violon
Krzysztof Chorzelski alto
Antoine Lederlin violoncelle

Le Quatuor Artemis est remplacé par le Quatuor Belcea

Fondé en 1989 et basé à Berlin, le Quatuor Artemis a reçu les conseils des Quatuors Alban Berg, Emerson, d’Alfred Brendel et figure depuis de nombreuses années au rang des meilleurs ensembles de chambre de notre temps. Particulièrement admiré dans Beethoven, il s’est attelé dès 2009 à l’intégrale de ses quatuors, les enregistrant et les jouant dans toute l’Europe. C’est à un des sommets de la période médiane – contemporain du 4e concerto pour piano – qu’il s’attache ici, le premier des trois quatuors de l’opus 59 dédiés à l’ambassadeur de Russie à Vienne. Une œuvre dont le lyrisme frémit d’allégresse et d’énergie. La partition singulièrement vibrante de Janáček, d’après Tolstoï, mêle les quatre musiciens comme autant de voix imaginaires, en un dialogue d’une puissance quasi-expressionniste.

Le Quatuor Artemis est remplacé par le Quatuor Belcea

Fondé en 1989 et basé à Berlin, le Quatuor Artemis a reçu les conseils des Quatuors Alban Berg, Emerson, d’Alfred Brendel et figure depuis de nombreuses années au rang des meilleurs ensembles de chambre de notre temps. Particulièrement admiré dans Beethoven, il s’est attelé dès 2009 à l’intégrale de ses quatuors, les enregistrant et les jouant dans toute l’Europe. C’est à un des sommets de la période médiane – contemporain du 4e concerto pour piano – qu’il s’attache ici, le premier des trois quatuors de l’opus 59 dédiés à l’ambassadeur de Russie à Vienne. Une œuvre dont le lyrisme frémit d’allégresse et d’énergie. La partition singulièrement vibrante de Janáček, d’après Tolstoï, mêle les quatre musiciens comme autant de voix imaginaires, en un dialogue d’une puissance quasi-expressionniste.