Quatuor Ébène, Michel Portal, Richard Héry
Quatuor Ébène ©Julien Mignot

Quatuor Ébène

Pierre Colombet violon
Gabriel Le Magadure violon
Mathieu Herzog alto
Raphaël Merlin violoncelle

Bien de son temps, la formation française est connue pour son ouverture à des répertoires très variés, incluant le jazz ou la musique brésilienne. Elle ne manque pas d’ambition non plus, en témoigne ce dernier concert, entièrement consacré au compositeur qui aura porté le plus haut le genre du quatuor à cordes. Et pas n’importe lesquelles de ses œuvres ! Deux sommets particulièrement escarpés, redoutable pour les interprètes mais d’une beauté incomparable du point de vue des auditeurs. La vigueur, la cohésion, le souffle large de nos musiciens devraient assurer le succès de cette escalade périlleuse. Saluons le panache de ces artistes qui n’ont décidément peur de rien, ou plutôt dont la peur, sans doute bien réelle, agit comme un moteur. Un moment de tous les risques et de tous les triomphes.

Bien de son temps, la formation française est connue pour son ouverture à des répertoires très variés, incluant le jazz ou la musique brésilienne. Elle ne manque pas d’ambition non plus, en témoigne ce dernier concert, entièrement consacré au compositeur qui aura porté le plus haut le genre du quatuor à cordes. Et pas n’importe lesquelles de ses œuvres ! Deux sommets particulièrement escarpés, redoutable pour les interprètes mais d’une beauté incomparable du point de vue des auditeurs. La vigueur, la cohésion, le souffle large de nos musiciens devraient assurer le succès de cette escalade périlleuse. Saluons le panache de ces artistes qui n’ont décidément peur de rien, ou plutôt dont la peur, sans doute bien réelle, agit comme un moteur. Un moment de tous les risques et de tous les triomphes.