Quatuor Ébène
Pierre Colombet violon
Gabriel Le Magadure violon
Mathieu Herzog alto
Raphaël Merlin violoncelle
Carte Blanche 1
Mozart
Divertimento pour quatuor à cordes n°3 en fa majeur K. 138
Bartók
Quatuor à cordes n°4 Sz. 91
Mendelssohn
Quaturo à cordes n°6 en fa mineur opus 80
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
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Ascension fulgurante que celle de l’ensemble français, reconnu désormais au niveau international comme une formation phare. Fondé en 1999, il remporte 5 ans plus tard, après des études à Paris avec le Quatuor Ysaïe, puis différents maîtres, le concours de l’ARD de Munich, ainsi que pas moins de cinq prix spéciaux. Son parcours n’est qu’une suite de succès ininterrompue, jusqu’à un « Record of the Year » pour le disque Debussy-Ravel-Fauré, décerné par la prestigieuse revue Grammophon. Durant trois concerts répartis tout au long de la saison, le Quatuor Ebène démontrera l’étendue de son répertoire et son aisance dans les styles les plus divers. Pour ce premier volet, à la légèreté de Mozart, répond l’intensité du quatuor peut-être le plus inspiré de Bartók. Le lyrisme et la vitalité contagieuse de Mendelssohn concluent le concert sur un sourire enchanteur.
Ascension fulgurante que celle de l’ensemble français, reconnu désormais au niveau international comme une formation phare. Fondé en 1999, il remporte 5 ans plus tard, après des études à Paris avec le Quatuor Ysaïe, puis différents maîtres, le concours de l’ARD de Munich, ainsi que pas moins de cinq prix spéciaux. Son parcours n’est qu’une suite de succès ininterrompue, jusqu’à un « Record of the Year » pour le disque Debussy-Ravel-Fauré, décerné par la prestigieuse revue Grammophon. Durant trois concerts répartis tout au long de la saison, le Quatuor Ebène démontrera l’étendue de son répertoire et son aisance dans les styles les plus divers. Pour ce premier volet, à la légèreté de Mozart, répond l’intensité du quatuor peut-être le plus inspiré de Bartók. Le lyrisme et la vitalité contagieuse de Mendelssohn concluent le concert sur un sourire enchanteur.