Quatuor Modigliani
Quatuor Modigliani ©Jérome Bonnet

Quatuor Modigliani

Amaury Coeytaux violon
Loïc Rio violon
Laurent Marfaing alto
François Kieffer violoncelle

Singulier, surprenant Quatuor Modigliani ! 15 ans dans les pattes de Haydn n’y ont rien changé, ces quatre jeunes loups n’en finissent pas d’échauffer un public aussi enthousiaste que fidèle.

Quoi de plus ambigu que cette sonorité, de plus émouvant que cette plasticité commune du souffle ? La musique du corps, le panache solaire, ils ont beau en disposer, c’est dans l’invisible que les Modigliani sont les plus virtuoses : le temps d’un portamento racé, dans l’impalpable irisation d’une tenue. Chez eux, la ligne chante jusque dans les silences, traçant d’immenses paraboles sonores, brossant un paysage émotionnel unique, aux contours obsédants. Art du fugace et de l’insaisissable qu’ils feront éclater dans « les Dissonances » de Mozart, avant de s’approprier le langage plus dense et poignant du 2ème Quatuor à cordes de Brahms.

Singulier, surprenant Quatuor Modigliani ! 15 ans dans les pattes de Haydn n’y ont rien changé, ces quatre jeunes loups n’en finissent pas d’échauffer un public aussi enthousiaste que fidèle.

Quoi de plus ambigu que cette sonorité, de plus émouvant que cette plasticité commune du souffle ? La musique du corps, le panache solaire, ils ont beau en disposer, c’est dans l’invisible que les Modigliani sont les plus virtuoses : le temps d’un portamento racé, dans l’impalpable irisation d’une tenue. Chez eux, la ligne chante jusque dans les silences, traçant d’immenses paraboles sonores, brossant un paysage émotionnel unique, aux contours obsédants. Art du fugace et de l’insaisissable qu’ils feront éclater dans « les Dissonances » de Mozart, avant de s’approprier le langage plus dense et poignant du 2ème Quatuor à cordes de Brahms.