Quatuor Tetzlaff
Quatuor Tetzlaff ©Giorgia Bertazzi

Quatuor Tetzlaff

Christian Tetzlaff violon
Elisabeth Kufferath violon
Hanna Weinmeister alto
Tanja Tetzlaff violoncelle

Depuis 1994 qu’il fait de la musique avec Tanja, sa soeur violoncelliste, et leurs amies Elisabeth Kufferath et Hanna Weinmeister, Christian Tetzlaff, soliste très occupé, veille à tourner chaque année avec ces dames. Dans leurs valises cette fois-ci, Haydn et Beethoven.

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Pendant l’hiver 1771-1772, l’Opus 20 n°5 du premier voit presque venir le romantisme que les dernières pages du second porteront jusqu’à l’inouï. Ainsi l’épique 14e (1825-1826), dont les sept sections fondues dans un grand tout commencent par un Adagio que Wagner entend comme « la chose la plus mélancolique que la musique ait jamais exprimée », et se termine par « la danse du
monde lui-même : plaisir sauvage, plainte douloureuse, extase d’amour, joie suprême, gémissement, furie, volupté et souffrance ».
Tout un programme !

Depuis 1994 qu’il fait de la musique avec Tanja, sa soeur violoncelliste, et leurs amies Elisabeth Kufferath et Hanna Weinmeister, Christian Tetzlaff, soliste très occupé, veille à tourner chaque année avec ces dames. Dans leurs valises cette fois-ci, Haydn et Beethoven.

Pendant l’hiver 1771-1772, l’Opus 20 n°5 du premier voit presque venir le romantisme que les dernières pages du second porteront jusqu’à l’inouï. Ainsi l’épique 14e (1825-1826), dont les sept sections fondues dans un grand tout commencent par un Adagio que Wagner entend comme « la chose la plus mélancolique que la musique ait jamais exprimée », et se termine par « la danse du
monde lui-même : plaisir sauvage, plainte douloureuse, extase d’amour, joie suprême, gémissement, furie, volupté et souffrance ».
Tout un programme !