Richard Goode 1
Richard Goode ©Michael Wilsonl

Richard Goode

piano

Dans le Bronx où il grandit, son père, violoniste amateur, aurait voulu le voir se tourner vers l’archet, mais le petit se montre tellement doué pour le piano qu’on lui organise à 10 ans une audition devant Rudolf Serkin avec lequel il travaillera par la suite, comme auprès de Mieczylav Horszowski, avant de remporter le Concours Clara Haskil. Il sera le premier des pianistes étasuniens à enregistrer l’intégrale des sonates de Beethoven, mais ce passionné de littérature et de Joyce entre autres, co-directeur avec Mitsuko Uchida du Festival de Marlboro, est aussi un chambriste de toujours, cultivant, notamment avec Dawn Upshaw ou Lorraine Hunt, l’art du Lied et de la mélodie. D’où ce Schubert si inspiré ou encore ces Debussy sans autre accent que français.

Dans le Bronx où il grandit, son père, violoniste amateur, aurait voulu le voir se tourner vers l’archet, mais le petit se montre tellement doué pour le piano qu’on lui organise à 10 ans une audition devant Rudolf Serkin avec lequel il travaillera par la suite, comme auprès de Mieczylav Horszowski, avant de remporter le Concours Clara Haskil. Il sera le premier des pianistes étasuniens à enregistrer l’intégrale des sonates de Beethoven, mais ce passionné de littérature et de Joyce entre autres, co-directeur avec Mitsuko Uchida du Festival de Marlboro, est aussi un chambriste de toujours, cultivant, notamment avec Dawn Upshaw ou Lorraine Hunt, l’art du Lied et de la mélodie. D’où ce Schubert si inspiré ou encore ces Debussy sans autre accent que français.