AsFâr
Trio Joubran
Le Trio Joubran
AsFâr
Formation emblématique de la culture de Palestine, reconnue pour ses créations et improvisations sur une subtile relecture des maqâms traditionnels, Le Trio Joubran présente son nouveau spectacle en compagnie d’invités internationaux.
En voir plusThéâtre des Champs-Élysées
tarif unique : 40€
C’est avec toute leur maturité et leur connaissance que les trois frères ont créé AsFâr, un cinquième album qu’ils ont composé autant que « vécu » ; à travers la découverte d’autres cultures, cette création leur a coûté beaucoup de combats et de joies. Cinq ans auparavant, lors de leur installation à Paris, ils étaient hantés de craintes, porteurs de rêve, déterminés à mieux découvrir l’Occident pour lui faire connaître leur musique, leur culture, leur différence… Cet Occident qui leur a tant apporté, ils lui offrent à leur tour ce qu’ils ont de mieux, de plus spirituel, de plus riche, de plus cher.
Pas de plan, pas de feuille de route, juste une charge d’émotion à l’infini, une multitude de notes, de tons que leurs ouds savent si bien exprimer, avec la voix de Dhafer Youssef sur deux titres et les fameux rythmes de leur fidèle partenaire percussionniste Youssef Hbeisch. AsFâr est un vrai dépaysement, un trajet plus qu’un projet, une traversée de leurs influences, une apnée dans les méandres de leurs pensées les plus intimes. Afin de conserver la fraîcheur du premier élan, les trois frères ont d’ailleurs choisi de ne pas répéter les compositions qu’ils avaient élaborées en commun avant d’entrer en studio…
Certes, les maqâms, les gammes et les modes de la musique arabe demeurent la base de leurs compositions, toutes imprégnées de leur Palestine natale. Mais, portés par leur imagination féconde et leur indéniable érudition, ils réussissent à tisser des motifs nouveaux et des variations inédites ; quoi de plus naturel pour eux qui sont la quatrième génération d’une famille d’éminents luthiers, et qui aiment dire, parlant des trois instruments inestimables qu’ils enclavent et avec lesquels ils ont toujours vécu, qu’ils sont six frères sur scène…
AsFâr, « voyage » en arabe ; As far, « aussi loin » en anglais… Ce jeu de mot correspond à leur réalité. Le trio a beaucoup cheminé depuis cinq ans, conquérant de nouveaux publics, composant des musiques de films, remportant des récompenses, se produisant sur les plus grandes scènes du monde avec des artistes internationalement consacrés. Avec leur art musical et scénographique qui n’appartient qu’à eux, les voilà bien et pour longtemps au premier rang.
C’est avec toute leur maturité et leur connaissance que les trois frères ont créé AsFâr, un cinquième album qu’ils ont composé autant que « vécu » ; à travers la découverte d’autres cultures, cette création leur a coûté beaucoup de combats et de joies. Cinq ans auparavant, lors de leur installation à Paris, ils étaient hantés de craintes, porteurs de rêve, déterminés à mieux découvrir l’Occident pour lui faire connaître leur musique, leur culture, leur différence… Cet Occident qui leur a tant apporté, ils lui offrent à leur tour ce qu’ils ont de mieux, de plus spirituel, de plus riche, de plus cher.
Pas de plan, pas de feuille de route, juste une charge d’émotion à l’infini, une multitude de notes, de tons que leurs ouds savent si bien exprimer, avec la voix de Dhafer Youssef sur deux titres et les fameux rythmes de leur fidèle partenaire percussionniste Youssef Hbeisch. AsFâr est un vrai dépaysement, un trajet plus qu’un projet, une traversée de leurs influences, une apnée dans les méandres de leurs pensées les plus intimes. Afin de conserver la fraîcheur du premier élan, les trois frères ont d’ailleurs choisi de ne pas répéter les compositions qu’ils avaient élaborées en commun avant d’entrer en studio…
Certes, les maqâms, les gammes et les modes de la musique arabe demeurent la base de leurs compositions, toutes imprégnées de leur Palestine natale. Mais, portés par leur imagination féconde et leur indéniable érudition, ils réussissent à tisser des motifs nouveaux et des variations inédites ; quoi de plus naturel pour eux qui sont la quatrième génération d’une famille d’éminents luthiers, et qui aiment dire, parlant des trois instruments inestimables qu’ils enclavent et avec lesquels ils ont toujours vécu, qu’ils sont six frères sur scène…
AsFâr, « voyage » en arabe ; As far, « aussi loin » en anglais… Ce jeu de mot correspond à leur réalité. Le trio a beaucoup cheminé depuis cinq ans, conquérant de nouveaux publics, composant des musiques de films, remportant des récompenses, se produisant sur les plus grandes scènes du monde avec des artistes internationalement consacrés. Avec leur art musical et scénographique qui n’appartient qu’à eux, les voilà bien et pour longtemps au premier rang.