Stabat Mater 1
La Grande Écurie et la Chambre du Roy ©Danielle Pierre

Maïlys de Villoutreys

soprano

Paul Figuier

contreténor

Philippe Couvert

maître de concert et violon solo

La Grande Écurie et la Chambre du Roy

Ensemble instrumental

Dernière œuvre d’un compositeur mort à 26 ans de la tuberculose, le Stabat Mater de Pergolèse a peu à peu été élevé au niveau de mythe, sans doute par son alliage tout à fait unique de tendresse et de pathos. Rousseau n’a-t-il pas affirmé que « le premier verset du Stabat était le plus parfait et le plus touchant qui soit sorti de la plume d’aucun musicien » ? Ce que l’on sait moins, c’est que l’œuvre a été composée pour la confrérie aristocratique de l’Église Santa Maria dei Sette Dolori en remplacement d’un autre Stabat Mater, celui d’un certain Alessandro Scarlatti… Ce sont ces deux Stabat Mater dont la Grande Écurie et la Chambre du Roy propose cette année la confrontation. Comme de coutume à la Grande-Écurie, les rôles jumeaux échoient à deux jeunes voix : celles de la gracieuse Maïlys De Villoutreys et de l’élégant Paul Figuier.

Dernière œuvre d’un compositeur mort à 26 ans de la tuberculose, le Stabat Mater de Pergolèse a peu à peu été élevé au niveau de mythe, sans doute par son alliage tout à fait unique de tendresse et de pathos. Rousseau n’a-t-il pas affirmé que « le premier verset du Stabat était le plus parfait et le plus touchant qui soit sorti de la plume d’aucun musicien » ? Ce que l’on sait moins, c’est que l’œuvre a été composée pour la confrérie aristocratique de l’Église Santa Maria dei Sette Dolori en remplacement d’un autre Stabat Mater, celui d’un certain Alessandro Scarlatti… Ce sont ces deux Stabat Mater dont la Grande Écurie et la Chambre du Roy propose cette année la confrontation. Comme de coutume à la Grande-Écurie, les rôles jumeaux échoient à deux jeunes voix : celles de la gracieuse Maïlys De Villoutreys et de l’élégant Paul Figuier.