Thibault Cauvin
Thibault Cauvin ©Frank Loriou

Thibault Cauvin

guitare

Thibault Cauvin ne porte pas toutes ses décorations.
Et pour cause : trente-six médailles – dont treize premiers prix décrochés entre dix-huit et vingt ans ! – feraient passer le crack de la guitare né en 1984 pour un ancien combattant. 

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Mieux qu’une mise en doigts, trois bijoux destinés à d’autres cordes pincées que les siennes servent de point de départ à cette invitation au voyage.

« Scarlatti me suit depuis bien des années et je me suis toujours senti proche de ses sonates, brillantes, dynamiques et pleines de malice », écrivait-il en exergue de l’album qu’il leur consacrait en 2013 (Sony).

Entre autres détours évocateurs, les cartes postales d’Albéniz et les rythmes argentins de Piazzolla voisineront avec le swing d’Ellington et le charme de Jobim.

Thibault Cauvin ne porte pas toutes ses décorations.
Et pour cause : trente-six médailles – dont treize premiers prix décrochés entre dix-huit et vingt ans ! – feraient passer le crack de la guitare né en 1984 pour un ancien combattant. 

Mieux qu’une mise en doigts, trois bijoux destinés à d’autres cordes pincées que les siennes servent de point de départ à cette invitation au voyage.

« Scarlatti me suit depuis bien des années et je me suis toujours senti proche de ses sonates, brillantes, dynamiques et pleines de malice », écrivait-il en exergue de l’album qu’il leur consacrait en 2013 (Sony).

Entre autres détours évocateurs, les cartes postales d’Albéniz et les rythmes argentins de Piazzolla voisineront avec le swing d’Ellington et le charme de Jobim.