Till Fellner, Quatuor Belcea 1
©Jean-Baptiste Millot

Till Fellner

piano

Lentement, patiemment, mais avec une volonté de fer, une exigence d’un autre temps, Till Fellner construit un parcours sans fautes. Parions qu’il sera encore là dans 30 ans, suivant l’exemple de son mentor Alfred Brendel, qui a commencé avec le même souci de l’artisan scrupuleux, pour arriver aux cimes de l’art et de la reconnaissance. L’artiste autrichien, vainqueur en 1993 du concours Clara Haskil, qui récompense traditionnellement des pianistes qui sont avant tout des musiciens, impose le respect par sa détermination à servir le compositeur. Avec lui, Mozart et Schumann – pivots d’un répertoire essentiellement axé sur les classiques et les romantiques – nous apparaissent en pleine lumière, radieux et vibrants.

Lentement, patiemment, mais avec une volonté de fer, une exigence d’un autre temps, Till Fellner construit un parcours sans fautes. Parions qu’il sera encore là dans 30 ans, suivant l’exemple de son mentor Alfred Brendel, qui a commencé avec le même souci de l’artisan scrupuleux, pour arriver aux cimes de l’art et de la reconnaissance. L’artiste autrichien, vainqueur en 1993 du concours Clara Haskil, qui récompense traditionnellement des pianistes qui sont avant tout des musiciens, impose le respect par sa détermination à servir le compositeur. Avec lui, Mozart et Schumann – pivots d’un répertoire essentiellement axé sur les classiques et les romantiques – nous apparaissent en pleine lumière, radieux et vibrants.