Trio Busch
Trio Busch ©Kaupo Kikkas

Trio Busch

Omri Epstein piano
Mathieu van Bellen violon
Ori Epstein violoncelle

Formés au Royal College de Londres, où ils ont décidé de jouer en Trio dès 2012, disciples du Quatuor Artemis à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Waterloo, les frères Epstein et Matthieu van Bellen qui fait chanter un Guadagnini ayant appartenu au fameux Adolf Bush, ont un mantra : « plus on en sait, plus on est libre ».

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Recherche et réflexion n’empêchent cependant pas le naturel du discours. Leur enregistrement des célèbres « Dumky » de Dvořák sous pavillon Alpha (leur premier disque, en 2016) avait conquis la critique grâce à l’assurance de sa pensée musicale et d’un nuancier des plus riches.

L’an dernier, une fulgurante gravure de l’Opus 100 de Schubert impressionnait encore plus. On parie donc que leur lecture du Trio D 898, page d’un lyrisme plus délicat, fera également mouche.

Formés au Royal College de Londres, où ils ont décidé de jouer en Trio dès 2012, disciples du Quatuor Artemis à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Waterloo, les frères Epstein et Matthieu van Bellen qui fait chanter un Guadagnini ayant appartenu au fameux Adolf Bush, ont un mantra : « plus on en sait, plus on est libre ».

Recherche et réflexion n’empêchent cependant pas le naturel du discours. Leur enregistrement des célèbres « Dumky » de Dvořák sous pavillon Alpha (leur premier disque, en 2016) avait conquis la critique grâce à l’assurance de sa pensée musicale et d’un nuancier des plus riches.

L’an dernier, une fulgurante gravure de l’Opus 100 de Schubert impressionnait encore plus. On parie donc que leur lecture du Trio D 898, page d’un lyrisme plus délicat, fera également mouche.