Zhu Xiao-Mei 2
Zhu Xiao-Mei ©Julien Mignot

Zhu Xiao-Mei

 

Légères, les Variations en ut majeur de Mozart ? Méfiez-vous, derrière leur air badin elles cachent des trésors d’invention toout comme les Scène d’enfants qui regorgent d’idées. Ce sera pour Zhu Xiao-Mei, dont le jeu sans artifices et sans afféteries artistique, un préambule à l’ultime sonate de Franz Schubert. Confession sans paroles d’un compositeur au seuil de la mort, pas une note qui n’y soit pas essentielle malgré des dimensions gigantesques dans cette œuvre que l’on dirait faite pour une pianiste dont chaque récital est une profession de foi en la musique.

Légères, les Variations en ut majeur de Mozart ? Méfiez-vous, derrière leur air badin elles cachent des trésors d’invention toout comme les Scène d’enfants qui regorgent d’idées. Ce sera pour Zhu Xiao-Mei, dont le jeu sans artifices et sans afféteries artistique, un préambule à l’ultime sonate de Franz Schubert. Confession sans paroles d’un compositeur au seuil de la mort, pas une note qui n’y soit pas essentielle malgré des dimensions gigantesques dans cette œuvre que l’on dirait faite pour une pianiste dont chaque récital est une profession de foi en la musique.