Fazıl Say 7
Fazıl Say © Marco Borggreve

Fazıl Say

Originaire d’Ankara, où les premiers géants du piano qu’il entendit avaient pour nom Oscar Peterson, Keith Jarrett et Chick Corea, Fazıl Say étudia ensuite à Düsseldorf avec David Levine, qui l’auditionna sur les conseils du compositeur Aribert Riemann – «il faut que tu l’entendes, il joue comme un diable». 

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Dire si le virtuose n’éprouve aucun problème à faire le grand écart entre «classique» et d’autres genres, y compris dans ses propres compositions. De la musique dans tous les cas, rétorque-t-il à ceux qui veulent le cantonner à ce qu’ils jugent sérieux.  S’il s’arrête ce soir en terres françaises, c’est pour mieux jeter des ponts entre les siècles de Couperin et de Satie et l’impressionnisme de Ravel et Debussy.

Originaire d’Ankara, où les premiers géants du piano qu’il entendit avaient pour nom Oscar Peterson, Keith Jarrett et Chick Corea, Fazıl Say étudia ensuite à Düsseldorf avec David Levine, qui l’auditionna sur les conseils du compositeur Aribert Riemann – «il faut que tu l’entendes, il joue comme un diable». 

Dire si le virtuose n’éprouve aucun problème à faire le grand écart entre «classique» et d’autres genres, y compris dans ses propres compositions. De la musique dans tous les cas, rétorque-t-il à ceux qui veulent le cantonner à ce qu’ils jugent sérieux.  S’il s’arrête ce soir en terres françaises, c’est pour mieux jeter des ponts entre les siècles de Couperin et de Satie et l’impressionnisme de Ravel et Debussy.