Fazıl Say
Couperin
Vingt-et-unième Ordre du Quatrième Livre
La Reine des Coeurs, La Bondissante
La Couperin, La Harpée
La Petite Pince-sans-rire
Debussy
Suite Bergamasque
Prélude, Menuet,
Clair de Lune, Passepied
Entracte
Ravel
Miroirs
Noctuelles, Oiseaux tristes,
Une Barque sur l’océan,
Alborada del Gracioso,
La Vallée des cloches
Satie
Gnossiennes n°1-3
Théâtre des Champs-Élysées
75 € – 55 € – 40 € – 28 € – 10 € – 5 €
Dire si le virtuose n’éprouve aucun problème à faire le grand écart entre «classique» et d’autres genres, y compris dans ses propres compositions. De la musique dans tous les cas, rétorque-t-il à ceux qui veulent le cantonner à ce qu’ils jugent sérieux. S’il s’arrête ce soir en terres françaises, c’est pour mieux jeter des ponts entre les siècles de Couperin et de Satie et l’impressionnisme de Ravel et Debussy.
Originaire d’Ankara, où les premiers géants du piano qu’il entendit avaient pour nom Oscar Peterson, Keith Jarrett et Chick Corea, Fazıl Say étudia ensuite à Düsseldorf avec David Levine, qui l’auditionna sur les conseils du compositeur Aribert Riemann – «il faut que tu l’entendes, il joue comme un diable».
Dire si le virtuose n’éprouve aucun problème à faire le grand écart entre «classique» et d’autres genres, y compris dans ses propres compositions. De la musique dans tous les cas, rétorque-t-il à ceux qui veulent le cantonner à ce qu’ils jugent sérieux. S’il s’arrête ce soir en terres françaises, c’est pour mieux jeter des ponts entre les siècles de Couperin et de Satie et l’impressionnisme de Ravel et Debussy.