Bertrand Chamayou piano
Felix Mendelssohn
Lieder ohne Worte opus 19 n°1 et 2, opus 38 n°5
Charles Ives
Song without (good) words
Felix Mendelssohn
Lieder ohne Worte opus 53 n°4, opus 30 n°2,
opus 53 n°3, opus 38 n°2
Gabriel Fauré
Romance sans paroles opus 17 n°3
Felix Mendelssohn – Franz Liszt
Auf Flügeln des Gesanges
Felix Mendelssohn
Lied ohne Worte opus 67 n°4
Clara Schumann
Romance en la mineur
Felix Mendelssohn
Lieder ohne Worte opus 85 n°2, opus 30 n°6,
opus 67 n°5 et n°2
Robert Schumann – Franz Liszt
Frühlingsnacht
John Lennon et Paul McCartney –
Toru Takemitsu
Golden Slumbers
Robert Schumann – Franz Liszt
Widmung
George Crumb
Eine kleine Mitternachtsmusik
György Kurtág
Scraps of a Colinda Melody – faintly recollected
from Jatekok (hommage à Farkas Ferenc 2)
Franz Schubert
Wanderer-Fantasie opus 15 D. 760
Théâtre des Champs-Élysées
75€ – 55€ – 40€ – 28€ – 10€ – 5€
Et nous offrira pour commencer un bouquet de romances mendelssohniennes piqué d’autres morceaux du genre signés Fauré, Ives ou Wieck-Schumann, ainsi que de mélodies ou chansons arrangées par Liszt et, pour les Beatles, Takemitsu. Avant de conclure la soirée avec une célèbre Fantaisie au sein de laquelle Schubert revient lui-même sur l’un de ses Lieder, le Toulousain explorera Eine Kleine Mitternacht Musik (2001), cycle de sept « ruminations » de George Crumb sur Round Midnight (Theolonius Monk). Il nous rappellera aussi, dans des échos de chants de Noël venus de l’est, ses affinités avec le minutieux miniaturiste Kurtág. De l’art d’élargir l’horizon.
Entre vignettes et pages d’envergure, Bertrand Chamayou fera chanter son clavier sans paroles, mais pas sans éloquence.
Et nous offrira pour commencer un bouquet de romances mendelssohniennes piqué d’autres morceaux du genre signés Fauré, Ives ou Wieck-Schumann, ainsi que de mélodies ou chansons arrangées par Liszt et, pour les Beatles, Takemitsu. Avant de conclure la soirée avec une célèbre Fantaisie au sein de laquelle Schubert revient lui-même sur l’un de ses Lieder, le Toulousain explorera Eine Kleine Mitternacht Musik (2001), cycle de sept « ruminations » de George Crumb sur Round Midnight (Theolonius Monk). Il nous rappellera aussi, dans des échos de chants de Noël venus de l’est, ses affinités avec le minutieux miniaturiste Kurtág. De l’art d’élargir l’horizon.
