Anne Queffélec
Anne Queffélec ©Caroline Doutre

Anne Queffélec

 

Les Trois Dernières Sonates du grand Ludwig ?
Des œuvres « inouïes d’humanité », vous dira Anne Queffélec qui, un demi-siècle après avoir reçu les bons conseils d’Alfred Brendel, les enregistrait enfin pour le label Mirare – un disque de novembre 2022 auréolé d’un « Choc » de Classica.

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Notez que son approche limpide et lumineuse ne reste pas purement spirituelle : la pianiste rappelle volontiers le mot de Wilhelm Kempff – « Beethoven, ça s’éprouve » –, en précisant aimer « ce verbe fort, puissant, qui s’adresse aussi au corps. Car cette musique est également physique, très incarnée. On ne peut y aller que corps et âme ». Vous voilà donc prévenus.

Les Trois Dernières Sonates du grand Ludwig ?
Des œuvres « inouïes d’humanité », vous dira Anne Queffélec qui, un demi-siècle après avoir reçu les bons conseils d’Alfred Brendel, les enregistrait enfin pour le label Mirare – un disque de novembre 2022 auréolé d’un « Choc » de Classica.

Notez que son approche limpide et lumineuse ne reste pas purement spirituelle : la pianiste rappelle volontiers le mot de Wilhelm Kempff – « Beethoven, ça s’éprouve » –, en précisant aimer « ce verbe fort, puissant, qui s’adresse aussi au corps. Car cette musique est également physique, très incarnée. On ne peut y aller que corps et âme ». Vous voilà donc prévenus.