Adam Laloum - Quatuor Tchalik
Adam Laloum © Harald Hoffmann

Adam Laloum

piano

 

Les habitués de nos concerts connaissent les affinités d’Adam Laloum avec Schubert. Aux autres, on rappellera seulement que son interprétation des trois dernières sonates en 2020 renversait tant le public que la critique – « le sang-froid (avec témérités), la poésie (avec abîmes), la sonorité épousant la moindre nuance émotionnelle avec une pudeur et une vérité de chaque instant, tout cela rendait la [D 959] mémorable », notait alors André Tubeuf.

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Avant d’y revenir, le pianiste sondera cette fois deux fantaisies de Chopin : les graves Opus 49 (1841) et 61 (1846). Ce dernier étant gouverné, selon Liszt, par « une élégiaque tristesse […] entrecoupée de mouvements effarés, de mélancoliques sourires, de soubresauts inopinés, de repos pleins de tressaillements ». Rien que ça.

Les habitués de nos concerts connaissent les affinités d’Adam Laloum avec Schubert. Aux autres, on rappellera seulement que son interprétation des trois dernières sonates en 2020 renversait tant le public que la critique – « le sang-froid (avec témérités), la poésie (avec abîmes), la sonorité épousant la moindre nuance émotionnelle avec une pudeur et une vérité de chaque instant, tout cela rendait la [D 959] mémorable », notait alors André Tubeuf.

Avant d’y revenir, le pianiste sondera cette fois deux fantaisies de Chopin : les graves Opus 49 (1841) et 61 (1846). Ce dernier étant gouverné, selon Liszt, par « une élégiaque tristesse […] entrecoupée de mouvements effarés, de mélancoliques sourires, de soubresauts inopinés, de repos pleins de tressaillements ». Rien que ça.