Benjamin Grosvenor
Benjamin Grosvenor © Andrej Grilc

Benjamin Grosvenor

piano

 

Cinq mois après la Sonate n°3, Benjamin Grosvenor nous revient avec Chopin. Il en explorera entre autres la Deuxième, universellement célèbre pour sa marche funèbre.

Lire la suite

Soit une œuvre dans laquelle le Britannique « étonne à la fois par sa conception classique, pianistiquement immaculée, d’une grâce et légèreté inimaginables, d’une rigueur bachienne dans le mouvement lent et d’une libération presque joyeuse dans le Finale », s’émerveillait le spécialiste Alain Lompech à l’issue d’un récital à Châteauroux, près de Nohant. Et encore ce dimanche ? La matinée se terminera avec l’Opus 83 (1942) de Prokofiev, qui « nous plonge brutalement dans l’atmosphère menaçante d’un monde dont l’équilibre vacille » (Sviatoslav Richter).
Émotions fortes garanties.

Cinq mois après la Sonate n°3, Benjamin Grosvenor nous revient avec Chopin. Il en explorera entre autres la Deuxième, universellement célèbre pour sa marche funèbre.

Soit une œuvre dans laquelle le Britannique « étonne à la fois par sa conception classique, pianistiquement immaculée, d’une grâce et légèreté inimaginables, d’une rigueur bachienne dans le mouvement lent et d’une libération presque joyeuse dans le Finale », s’émerveillait le spécialiste Alain Lompech à l’issue d’un récital à Châteauroux, près de Nohant. Et encore ce dimanche ? La matinée se terminera avec l’Opus 83 (1942) de Prokofiev, qui « nous plonge brutalement dans l’atmosphère menaçante d’un monde dont l’équilibre vacille » (Sviatoslav Richter).
Émotions fortes garanties.