Didon et Énée
John Blow
Vénus et Adonis
– Hasnaa Bennani Vénus
– Nicolas Rivenq Adonis
– Aurore Bucher Cupidon
– Alexandra Hewston chasseur/bergère
– Jean-Michel Fumas chasseur/berger (alto)
– Denis Mignien chasseur/berger (ténor)
– David Witzak berger (baryton)
Henry Purcell
Didon et Énée
– Máire Flavin Didon
– Nicolas Rivenq Énée
– Sabine Devieilhe Belinda
– Alexandra Hewston seconde femme, seconde sorcière
– Marie-Laure Coenjaerts magicienne, un esprit
– Aurore Bucher première sorcière
– Denis Mignien marin
– David Witzak un homme
Théâtre des Champs-Élysées
75€ – 55€ – 40€ – 28€ – 10€ – 5€
Il est d’usage dans l’histoire de la musique que l’élève dépasse le maître, mais il arrive aussi que le premier s’enhardisse à pousser une porte que son mentor n’avait osé entrouvrir. Et c’est le cas ici. En 1683, John Blow, compositeur fort en cour, celle de Charles II, compose un « mask », où la déesse, voulant enseigner l’art de décocher ses flèches à son fils Cupidon envoie son amant à la mort pour un sanglier. La chronologie, ou la légende, veut que l’ouvrage ait été créé par les jeunes filles du collège de Chelsea, là où 6 ans plus tard, son élève Henri Purcell donnera sa Didon et Énée, considérée comme le premier opéra baroque britannique. Qu’importe, il s’agit à peu d’années d’intervalle de deux femmes blessées à mort par la passion, l’une mère du héros troyen et folle de jalousie, l’autre la princesse mettant fin à ses jours, mais Jean-Claude Malgoire est heureusement depuis longtemps expert des feux de l’amour élisabéthain.
Ensemble vocal de l’Atelier Lyrique de Tourcoing
Hasnaa Bennani, Nicolas Rivenq, Aurore Bucher, Alexandra Hewston, Jean-Michel Fumas,
Sabine Devieilhe, Marie-Laure Coenjaerts, Denis Mignien, Olivier Fichet, Laurent Galabru,
David Witzak, Cyril Guilmot, Bruno Schraen-Vanpeperstraete.
La Grande Écurie et la Chambre du Roy
Jean-Claude Malgoire direction musicale
Il est d’usage dans l’histoire de la musique que l’élève dépasse le maître, mais il arrive aussi que le premier s’enhardisse à pousser une porte que son mentor n’avait osé entrouvrir. Et c’est le cas ici. En 1683, John Blow, compositeur fort en cour, celle de Charles II, compose un « mask », où la déesse, voulant enseigner l’art de décocher ses flèches à son fils Cupidon envoie son amant à la mort pour un sanglier. La chronologie, ou la légende, veut que l’ouvrage ait été créé par les jeunes filles du collège de Chelsea, là où 6 ans plus tard, son élève Henri Purcell donnera sa Didon et Énée, considérée comme le premier opéra baroque britannique. Qu’importe, il s’agit à peu d’années d’intervalle de deux femmes blessées à mort par la passion, l’une mère du héros troyen et folle de jalousie, l’autre la princesse mettant fin à ses jours, mais Jean-Claude Malgoire est heureusement depuis longtemps expert des feux de l’amour élisabéthain.
Ensemble vocal de l’Atelier Lyrique de Tourcoing
Hasnaa Bennani, Nicolas Rivenq, Aurore Bucher, Alexandra Hewston, Jean-Michel Fumas,
Sabine Devieilhe, Marie-Laure Coenjaerts, Denis Mignien, Olivier Fichet, Laurent Galabru,
David Witzak, Cyril Guilmot, Bruno Schraen-Vanpeperstraete.
La Grande Écurie et la Chambre du Roy
Jean-Claude Malgoire direction musicale