Denis Podalydès

narrateur

Pierre-Laurent Aimard

piano

 

Lecteur ou comédien ? « Il ne s’agit pas d’être neutre, d’appliquer une neutralité de bon aloi qui consisterait à se tenir à distance respectueuse, comme on le fait parfois devant un texte intimidant, chargé de trop d’implications historiques ou politiques.

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Il faut entrer dans la matière littéraire elle-même, trouver le rythme, débusquer dans le style la voix propre qui fera entendre clairement et aisément le texte », confiait Denis Podalydès en s’attaquant pour la première fois à Être sans destin. C’était en 2008. Seize ans plus tard, Pierre-Laurent Aimard, pour qui le piano du XXe siècle n’a pas de secret, met le chef-d’oeuvre d’Imre Kertész en regard de miniatures de ses contemporains, dont Ligeti et Kurtág, compatriotes du prix Nobel de littérature 2002.

Lecteur ou comédien ? « Il ne s’agit pas d’être neutre, d’appliquer une neutralité de bon aloi qui consisterait à se tenir à distance respectueuse, comme on le fait parfois devant un texte intimidant, chargé de trop d’implications historiques ou politiques.

Il faut entrer dans la matière littéraire elle-même, trouver le rythme, débusquer dans le style la voix propre qui fera entendre clairement et aisément le texte », confiait Denis Podalydès en s’attaquant pour la première fois à Être sans destin. C’était en 2008. Seize ans plus tard, Pierre-Laurent Aimard, pour qui le piano du XXe siècle n’a pas de secret, met le chef-d’oeuvre d’Imre Kertész en regard de miniatures de ses contemporains, dont Ligeti et Kurtág, compatriotes du prix Nobel de littérature 2002.