Jonathan Biss piano
Ludwig van Beethoven
Les 3 dernières Sonates
Sonate pour piano n°30 opus 109
Sonate pour piano n°31 opus 110
Sonate pour piano n°32 opus 111
Théâtre des Champs-Élysées
75€ – 55€ – 40€ – 28€ – 10€ – 5€
C’est que le grand Ludwig l’obsède depuis sa tendre enfance – comprenez : la découverte d’un enregistrement signé Rudolf Serkin à tout juste sept ans. D’où, sans doute, que beaucoup trouvent sa manière d’approcher le texte similaire à celle de son aîné. Avant d’en graver l’intégrale, l’Américain consacra même un essai à l’interprétation des trente-deux sonates de l’auteur de la Missa solemnis (Beethoven’s shadow, 2011). Intimidant corpus dont il remet les trois derniers sommets sur le pupitre, pour une soirée entre vertige musical et profondeur spirituelle.
« Beethoven est tellement exigeant qu’on se sent investi d’une responsabilité, d’un certain poids lorsqu’on interprète sa musique », vous dira Jonathan Biss.
C’est que le grand Ludwig l’obsède depuis sa tendre enfance – comprenez : la découverte d’un enregistrement signé Rudolf Serkin à tout juste sept ans. D’où, sans doute, que beaucoup trouvent sa manière d’approcher le texte similaire à celle de son aîné. Avant d’en graver l’intégrale, l’Américain consacra même un essai à l’interprétation des trente-deux sonates de l’auteur de la Missa solemnis (Beethoven’s shadow, 2011). Intimidant corpus dont il remet les trois derniers sommets sur le pupitre, pour une soirée entre vertige musical et profondeur spirituelle.